Vous jouez comme un auteur qui découvre un journal écrit par Bonnie, une des criminels tristement célèbre. Mais même un bon choix du sujet bien connu n’a pas sauvé le jeu de tel four. Ce n’est pas un secret que le bon jeu d’objets cachés est notable pour ses graphismes, mais ce jeu ne paut pas s’en vanter. Faire l’éloge de “Public Enemies: Bonnie and Clyde” signifie transiger avec notre conscience comme ce jeu est même négligent. Les développeurs conseillent aux joueurs de tourner leur moniteur à la luminosité la plus haute pour la meilleure expérience du jeu. Ainsi, ils s’avouent que ce produit est loin d’être parfait.

Pour couronner tout ça, les articles cachés sont de taille microscopique et sont dispersés partout. Pourquoi les développeurs du jeu pensent-ils que l’emploi des articles si petits est une bonne idée? Dans ce cas la loupe devrait venir avec “Public Enemies: Bonnie and Clyde”. Aussi le système d’allusions limités, qui prendent trop de templs pour se recharger, est un autre point endolori.

La recherche d’objets minuscules différents et le retour ensuite à la carte pour la troisième ou la cinquième fois vous feront presque dormir. Cependant, le cour du jeu a une bonne longueur. Comment pourrait-il être autrement? Le triage de ces petits articles prendra une longue période de temps de toute façon.

Malheureusement, nous devons reconnaître que “Public Enemies: Bonnie and Clyde” ne valent pas d’épingle. Honte à LeeGT Games!